Ecrans noirs 2022 : départ en fanfare

Le ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur, a présidé l’ouverture officielle de cet événement samedi dernier au Palais des Congrès de Yaoundé.

« Future Lullaby » pour donner le coup d’envoi d’une semaine riche en productions cinématographiques. C’est avec ce court-métrage de 15 minutes, réalisé par Blick Bassy, que la 26e édition du festival Ecrans noirs a officiellement démarré samedi dernier. Pour monter les 23 marches du palais des Congrès de Yaoundé, strasses et paillettes au rendez-vous. Aux commandes de la cérémonie d’ouverture, le ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur, le Pr. Jacques Fame Ndongo, représentant le Premier ministre. Le top départ de cette grand-messe du 7e art a été donné en présence du ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Grégoire Owona, par ailleurs président du conseil d’administration de l’association Ecrans noirs, et celle du secrétaire général du ministère des Arts et de la Culture, Blaise Nkene. Des membres du corps diplomatique et directeurs généraux étaient également présents.
Délégué général du festival, Bassek Ba Kobhio a relevé quelques rendez-vous phares de cette édition. Ce sera, entre autres, une centaine de films, longs et courts-métrages, sélectionnés sur près de 500 soumis. Ce sera aussi des projections à l’air libre à l’esplanade du Musée national à Yaoundé, village du festival. Le marché du film d’Afrique centrale devrait également démarrer ce lundi. Enfin, l’espace ciné dédié aux enfants, « Kid Cinema Corner », ainsi que le concours « 10 jours pour un film », organisé en partenariat avec l’Institut Goethe sont au menu des articulations. En attendant de déguster ces productions, le ton a été donné avec « Future Lullaby » de Blick Bassy. 15 minutes pour rendre hommage aux femmes, mères de famille, souvent aux prises d’une société patriarcale. L’histoire est racontée sur cinq époques, de 1958 à 2044, pour aboutir à la place fondamentale de l’éducation familiale collective. Au centre de ces époques qui s’enchaînent du noir et blanc, à la couleur de la modernité, la jeune Diana Bouli, dans un jeu d’acteur ...

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