Cinquantenaire de l’ESSTIC : que la fête commence !

Nostalgie dans la voix, mais aussi dans les souvenirs. Le ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur chancelier des Ordres académiques, le Pr. Jacques Fame Ndongo, était bien heureux d’animer la conférence de presse de lancement des manifestations du cinquantenaire hier à l’Ecole supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (ESSTIC). Ancien directeur de cette école (1981-1993), autrefois appelée Ecole supérieure internationale de Yaoundé (ESIJY), le Pr. Fame Ndongo à l’entame de son propos a tenu à rappeler les mutations que cette école a connues depuis sa création en 1970. 
De l’ESIJY à l’ESSTIC en passant par l’ESSTI (Ecole supérieure des sciences et techniques de l’information), que de beaux souvenirs, que de belles histoires à raconter, que de mutations structurelles, que de bons managers. Au total six, depuis sa création : Hervé Bourges, de nationalité française (1970-1976), Jean Paul Nyalendo de nationalité gabonaise (1976-1981), Jacques Fame Ndongo, Marc Joseph Omgba Etoundi (1993-2005), Laurent-Charles Boyomo Assala (2005-2021), Alice Nga Minkala (depuis 2021). Des histoires et des anecdotes, le Pr. Jacques Fame Ndongo en a livré, pour faire comprendre à la jeune génération, l’école célèbre à laquelle elle appartient. Anciens étudiants, pensionnaires, étaient présent à cette cérémonie de lancement officiel dont les activités s’annoncent intéressantes. Parce qu’un demi-siècle 53 ans d’existence se fête, le Pr. Alice Nga Minkala, directeur de l’ESSTIC, a présenté un programme : « Les activités auront leur point d’orgue du 14 au 16 juin 2023. Mais avant cette date, nous aurons d’autres manifestations à l’instar du colloque sur le Covid-19. Nous aurons également un forum d’échanges entre les professionnels de la communication et également des ateliers de métiers enseignés à l’école. » 
La rencontre d’hier a été l’occasion pour les professionnels des médias de poser des questions aux différents panélistes. Notamment sur l’appréciation...