Littérature africaine : lumière sur les nouvelles plumes

Elles étaient au cœur de l’ouverture, lundi dernier, de la semaine dédiée à l’Institut français à Yaoundé.

Plein feu cette semaine sur la littérature africaine aux antennes de Yaoundé et Douala de l’Institut français du Cameroun. Le programme des dédicaces prévoit aujourd’hui à Douala, Djaïli Amadou Amal ; après Osvalde Lewat avec « Les aquatiques » la veille. Mardi dernier dans la capitale, Kidi Bebey a satisfait au même exercice à travers son livre « Un bébé…et moi alors ? ». D’autres plumes à l’instar de Danielle Eyango, meilleur auteur dimanche dernier au terme du Salon international de l’industrie du livre de Yaoundé, Hemley Boum, Mutt-Lon, Alain Serge Dzotap vont également se prêter au jeu. Certains auteurs seront mis à contribution jusqu’à ce dimanche pour animer des ateliers d’écriture, des rencontres à destination du jeune public, des tables-rondes et des projections cinématographiques. Tout au long de la semaine, le public a l’opportunité d’acquérir de nouveaux livres. Des ouvrages vendus non pas à l’unité, mais au kilogramme au prix de 1000 F.   
L’une des particularités de cette édition est le coup de projecteurs sur les nouveaux visages de la littérature africaine. Des jeunes écrivains dont l’encre sur les pages est mis en lumière à travers le prix littéraire « Voix d’Afriques ». Rendue cette année à sa quatrième édition, la récompense a été décernée pour la première fois sur le continent à Yaoundé lundi dernier.  Sans suspense, plus que le nom du vainqueur de l’édition 2023 était connu depuis plusieurs semaines, le prix est revenu à l’Ivoirien Nincemon Falle pour son roman « Ces soleils ardents &r...

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