Les violences qui ébranlent le Kenya, depuis plus de deux mois, ne laissent guère l’Afrique indifférente. Des dysfonctionnements ont été enregistrés dans le processus électoral. Mais la Cour suprême, dont on attendait beaucoup, n’a pas pu statuer sur le recours en annulation de la présidentielle du 26 octobre. Ces manquements n’occultent pourtant pas les avancées enregistrées au cours de ce processus électoral, à savoir notamment l’annulation du scrutin présidentiel du 8 août dernier à la suite des irrégularités constatées dans le circuit de transmission des résultats, sur une requête de l’opposition et la réforme de la Commission nationale électorale indépendante. L’opposition a souhaité que la réforme de la Commission soit plus profonde. Elle a également émis le vœu que la haute juridiction soit toujours prompte à corriger les entorses à la démocratie. L’opposition ne peut cependant pas être juge et partie. La Cour suprême a pris ses responsabilités en estimant qu’elle ne pouvait pas se prononcer sur le recours en annulation de la présidentielle du 26 octobre. C’est son droit le p...
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