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En rejetant, lundi dernier, les recours en annulation du premier tour de la présidentielle libérienne du 10 octobre, la National electoral commission (NEC) a pris ses responsabilités devant l’histoire.
On sait que le 6 novembre dernier, la veille du second tour de la présidentielle, la Cour suprême avait suspendu le processus électoral et chargé la Commission électorale d’examiner les recours introduits par le parti du candidat Charles Brumskine classé troisième au premier tour avec 9,6 % des voix.
Loin derrière le sénateur et ancien ballon d’or africain George Weah ayant émergé premier avec 39 % des suffrages et l’ancien vice-président de la République Joseph Boakaï, candidat du parti au pouvoir, arrivé deuxième avec 29 % des voix.
Les candidats ayant perdu le premier tour de la présidentielle se sont associés pour dénoncer les «fraudes systématiques » et même le prétendu soutien du chef de l’Etat sortant du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf, au candidat George Weah. La présidente Ellen Johson Sirleaf a réfuté ces allégations mensongères.
Mieux, elle a convié le président de l’Union africaine, Alpha Condé, le président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, Faure Gnassingbé, ainsi que les candidats George Weah et Joseph ...
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