Elles ont été dispersées dans plusieurs villes du pays hier.
Le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement (Rassop) a appelé les Congolais à manifester hier pour demander le départ du président Kabila dès la fin de l'année.
Il était également question et de manifester contre le calendrier électoral qui prévoit des élections le 23 décembre 2018. Mais les forces de l’ordre et l’armée ont veillé au grain et étouffé dans l’œuf les différentes manifestations.
La plupart des personnes qui ont tenté de braver l'interdiction des autorités ont été arrêtés. Dans la capitale Kinshasa, les forces de l'ordre ont quadrillé toute la ville, étouffant toute velléité de manifester. Des militaires ont même été déployés à l'Université, un milieu réputé proche de l'opposition.
Dans le même sillage, la résidence d’une des têtes de proue de l'opposition, Félix Tshisekedi à Kinshasa a été placée sous haute surveillance. Des gaz lacrymogènes y ont été tirés pour disperser une centaine de sympathisants. D’après des témoignages, Jean-Marc Kabund, secrétaire général de l'UDPS et le député Martin Fayulu ont été arrêtés au cours des manifestations dispersées.
Par ailleurs, les partisans de l'opposition ...
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