Regard
Les responsables des neuf formations politiques retenues dans le cadre de l’élection sénatoriale prévue le 25 mars 2018 ont certainement poussé un ouf de soulagement lundi dernier à l’annonce du ministre de l’Administration territoriale (MINAT), Paul Atanga Nji de la disponibilité des fonds liés à l’organisation de leur campagne électorale. Comme le MINAT a tenu à le préciser, que le déblocage de ces fonds obéit aux dispositions du Code électoral camerounais.
Ainsi, conformément aux dispositions de l’article 285 de cette loi, il convient de retenir que « les fonds destinés au financement des campagnes électorales sont répartis en deux tranches d’égal montant aux partis politiques qui participent à ces élections ainsi qu’il suit : la première tranche est servie, après la publication des listes de candidats, à tous les partis politiques au prorata des listes présentées et acceptées dans les différentes circonscriptions électorales… »
Il convient donc de relever ici que le RDPC et l’UNDP, compte tenu du fait qu’ils alignent des candidats dans toutes les circonscriptions, devraient arriver en t...
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