« La première législature est toujours difficile »
- Par Dilian WELLENG (Intern)
- 03 avril 2018 12:26
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Aboubakar Siroma, sénateur sortant de l’Adamoua, SDF.
«J’exerce comme styliste-modéliste et designer au moment où j’entre au Sénat. Je fais aussi dans l’élevage comme tout jeune de Ngaoundéré. Je n’ai jamais été conseiller municipal ni député avant 2013. Quand notre liste gagne l’élection, nous sommes conscients que nous allons dans une institution nouvelle et qu’il s’agira de tout confectionner, concevoir et mettre en place. Nous sommes tous des amateurs, si je peux m’exprimer ainsi. On commence petit à petit à se renseigner, à s’informer sur les missions du Sénat. La première législature est toujours difficile dans tout organe législatif. Il faut trouver ses repères et envisager la gestion de la durée du mandat. C’est dans cet ordre d’idées qu’il faut situer les problèmes de préséance protocolaire que nous avons vécus au début. Heureusement, la Constitution avait bien défini les rôles et jusqu’ici je ne vois pas pourquoi les gens se sont attardés dessus. C’est l’incompréhension de certains d’entre-nous qui a accentué le problème. Mais nos dirigeants, le président du Sénat et le président de l’Assemblée nationale, ont bien cerné la question. Mais en ce qui concerne le second point de friction avec l’autre chambre, au sujet du vote du budget du Sénat, c’est le règlement intérieur du Sénat ...
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