Du fait des importations massives de sucre et de la contrebande, la société éprouve du mal à écouler ses stocks.
Les faits : des importations massives au port de Douala, la contrebande dans les régions septentrionales, la vente en l’état des produits destinés à la transformation créant une distorsion de concurrence, le non respect du cadre réglementaire établi par l’Etat camerounais. Une conséquence: la crainte d’une asphyxie des activités à la Société sucrière du Cameroun (Sosucam).
L’heure est critique. Assez critique pour que les administrateurs de la Sosucam décident de faire connaitre au public par voie de communiqué de presse au sortir de leur conseil du 28 mars dernier qu’il y a « imminence de l’arrêt des activités de la société ». « En réalité, la situation est alarmante», dira d’entrée de jeu le directeur commercial et marketing de cette entreprise au cours d’une descente des journalistes sur les sites de Nkoteng et Mbandjock, mercredi dernier.
Les journalistes ont pu observer que des sacs de sucre granulés blanc ou blond se voient à perte de vue. Posés les uns sur les autres, les cartons de sucre en morceaux cherchent également preneurs. Dans les magasins de stockage, le seuil critique en termes de chargement sera bientôt atteint. Même les espaces non r...
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