Une étude menée par le Minsanté en 2017 dans le district de santé de Mogodé à l’Extrême-Nord a été présentée vendredi dernier à Yaoundé.
Pour la quatrième fois consécutive, le district de santé de Mogodé dans la région de l’Extrême-Nord a été considéré comme un lieu à risque. C’est ici que les premiers cas d’infection de choléra ont été détectés, entraînant de nombreuses pertes humaines.
Et pour que de tels drames ne ressurgissent plus, la direction de la vaccination du ministère de la Santé publique (Minsanté), en collaboration avec ses partenaires, a décidé de détruire le mal à la racine. Entre mai et juin 2017, elle a mené une étude sur l’évaluation post-campagne de vaccination contre le choléra dans ce district de santé.
Plus de 80% de la population avait alors été vaccinée, sauf que les méthodes d’hygiène et salubrité ne suivaient pas.
Vendredi dernier avait lieu au cours d’un atelier, la restitution de ces résultats à Yaoundé. Il en ressort que le goulot d’étranglement dans est le manque d’eau potable, de latrines, mais aussi la manipulation des corps lors des rites funéraires dans ce district de santé et dans la localité de Mogodé.
Au cours de cette rencontre, il a été question d’informer les parties prenantes et les responsables des départements ministériels et de donner des recommandat...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Reactions
De la meme catégorie
Concours d’entrée dans les Enieg et les Eniet : 12 550 places disponibles
- 24 avril 2024 12:34
- 0 likes
Commentaires