L’Union européenne au chevet des sinistrés de la région de l'Extrême-Nord

Les concertations se poursuivent en vue d’aider les populations vulnérables.

Renforcer la résilience des populations vulnérables à l’insécurité dans la région de l’Extrême-Nord tout en contribuant à la cohésion sociale ; voilà décliné le plan d’action des consortia Projet de renforcement de la résilience des populations des régions septentrionales (PRESEC) et Programme de redressement économique et social inclusif et de lutte contre l’insécurité alimentaire et nutritionnelle des territoires du Nord Cameroun (RESILIANT).

Il s’agit de deux instruments que l’Union européenne a mis en place au profit des populations victimes de la crise sécuritaire créée par les terroristes des Boko Haram. Ces deux ou tils de lutte sont financés par l’Union européenne à travers le Fonds fiduciaire d’urgence pour l’Afrique.

Le comité en charge du pilotage de ces projets s’est réuni le 31 janvier dernier à Maroua dans l’optique de passer en revue les réalisations opérées ces six derniers mois. Ces assises étaient présidées par Herman Bertrand Assiga Abana, le secrétaire général des services du gouverneur de la région de l’Extrême-Nord.

Ici, ces projets sont mis en œuvre dans neuf communes qui ont connu les mouvements des populations suite aux exactions de la nébuleuse. Il s’agit des communes de Hina, Mokolo, Soulédé-Roua, Koza et Mozogo dans le Mayo-Tsanaga, Tokombéré dans le Mayo-Sava, Kousseri dans le Logone et Chari, Ndoukoula et Gazawa dans le Diamaré. 

Dans ces communes, l’Union européenne, à travers les projets

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