Bourse de valeurs mobilières de l’Afrique centrale : un modèle économique proposé

L’analyste des marchés financiers Charles Etoundi, dans un essai dédicacé mercredi dernier à Yaoundé, présente les enjeux et les opportunités de la nouvelle place boursière.

En juillet prochain, cela fera un an que la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac) a été mise en place à Douala. Jusqu’ici, seules quatre entreprises y sont cotées. Un nombre insignifiant, au vu du potentiel économique de la sous-région, mais bien plus, au vu des opportunités et enjeux que présente cette institution sous-régionale. Ces opportunités et enjeux, l’analyste des marchés financiers Charles Etoundi ne fait pas que les présenter, il les explique, dans son essai intitulé « Fusion des bourses de valeurs mobilières en Afrique centrale, enjeux et opportunités »,  dédicacé mercredi dernier à Yaoundé. 
Dans l’ouvrage de 238 pages, l’auteur renseigne sur ce qu’est la Bvmac et retrace l’histoire qui a abouti à sa mise en place. Dans un second temps, il présente la bourse comme un modèle économique futuriste, capable de palier les difficultés de financement des projets dans la sous-région et ainsi, réduire l’endettement extérieur. En dernière partie, Charles Etoundi propose des pistes pour s’approprier le marché boursier en Afrique centrale, aussi bien par les consommateurs, par les entreprises que par les administrations. 
De l’avis des critiques, l’essai de Charles Etoundi est salutaire pour la dynamisation de la place boursière de l’Afrique centrale. C’est d’ailleurs ce que relevait déjà le préfacier, Protais Ayangma Amang : « …au moment où les lignes commencent enfin à bouger avec la décision de fusionner les deux bourses de l’Afrique centrale, le présent ouvrage arrive à point nommé ». Pour le ...

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