Avenir de la diaspora : le regard de la société civile

Le président du Réseau parlementaire pour la diaspora, Louis Henri Ngantcha s’est entretenu le 28 novembre dernier avec ces acteurs vivant à l’étranger sur leurs commodités d’intégration au pays.

Il existe au sein du parlement camerounais, comme il y en a dans d’autres secteurs d’activités, un réseau chargé des questions de la diaspora. A en croire son coordonnateur, l’honorable Louis Henri Ngantcha, ce regroupement de parlementaires souhaite participer à la construction multisectorielle du pays. D’où la nécessité d’impliquer tous ses fils et filles, y compris ceux vivant à l’étranger. En effet, le Réseau parlementaire pour la diaspora et la coopération décentralisée transfrontalière (Rep-cod) se présente donc comme une interface. Un facilitateur entre les compatriotes de la diaspora et les pouvoirs publics, en vue d’alléger l’insertion de ces Camerounais. Et le préalable pour réaliser ce défi, selon le coordonnateur, c’est l’écoute, la concertation, l’échange. C’est dans cette trame que s’inscrivent donc les entrevues du samedi 28 novembre dernier à l’Assemblée nationale, entre lui et deux actrices de la société civile.
Suzanne Parquiez, élue locale en France, est la première à s’entretenir avec les membres du Rep-cod. Un entretien qui rejoint le pan de la coopération décentralisée et...

Reactions

Commentaires

    List is empty.

Laissez un Commentaire

De la meme catégorie