Guinée : l’expérience comme atout

Après avoir terminé 6e lors de la dernière CAN, le groupe plus mature tentera de dominer le groupe A.

Conakry, la capitale de Guinée, accueille le dernier stage de sa sélection nationale féminine. C’est depuis lundi dernier que les filles du coach Jean Louis Leblanc ont repris avec le chemin des entraînements. Un groupe composé de sept professionnelles et de quatre joueuses locales. Simone Keita et Teninke Kaba sont arrivées les dernières dans le groupe dans la nuit du lundi. Pour Djénaba Tandjan et ses coéquipières, il sera question de réaliser une performance meilleure que celle de Brazzaville (Congo) en 2018. Cette année-là, les Guinéennes avaient terminé à la 6e place. Trois ans plus tard, le groupe a gagné en maturité. 
Le rendez-vous de la capitale camerounaise constitue la quatrième participation des handballeuses guinéennes à une CAN, après 2014, 2016 et 2018. Avec cette fois, la volonté d’être parmi les cinq sélections nationales qui obtiendront leur qualification à la Coupe du monde de handball. Un challenge qui ne serait pas insurmontab...

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