Nouvel an: nuit calme aux urgences

En dehors de quelques cas d'agressions et d'accidents, le passage à 2017 s’est effectué sans gros dégâts.

Pas d'agitation au Centre des urgences de Yaoundé.  L'on entame la première heure  du 1er janvier 2017 et ici,  l'ambiance est plutôt bon enfant.  Des infirmiers devisent à  l'accueil.  Des fous rires se font entendre. La nuit de la traversée est plutôt calme.  « Nous n'avons reçu qu'une femme de 77 ans qui a été percutée par un automobiliste du côté de Biyem-Assi. Elle a une fracture de l'épaule et du bras droit. C'est le seul cas enregistré », dira le Dr Lambert Yonta.  Et jusqu'à 13h dimanche,  trois autres cas leur sont parvenus.  Mais le pronostic vital des victimes n'était pas en danger.  
 A l'Hôpital général de Yaoundé, cette fois, une dame ayant été grièvement blessée à l'épaule par des agresseurs à Etoudi, bénéficie de toutes les attentions du corps médical. Ses vêtements couverts de sang sont au sol et elle n’arrête pas de se lamenter. « Ils ont failli couper mon bras. Pourquoi me font-ils passer les fêtes à l'hôpital?», demande la victime  visiblement dépassée. En dehors d'elle aucun autre cas n'a été noté dans cette formation sanitaire selon le Dr Abdon Bipé,  surveillant général de l’hôpital. A l'hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé non loin de-là,  les méde...

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