Enseignement supérieur: Les bons points des cours en ligne

Trois universités camerounaises engagées dans le projet international « Massive Open Online Courses »

Un dispositif complémentaire de la formation en présentiel. Voilà comment se définit le Mooc, entendez « Massive Open Online Courses », dont il a été question ce mardi 28 novembre à l’Ecole doctorale de l’université de Douala. De fait, le démembrement de l’UD situé à Akwa a accueilli ce jour-là un point de presse relatif au colloque de clôture des activités du projet Reamooc (Réseau africain de développement du Mooc pour l’innovation pédagogique dans l’Enseignement supérieur) au Cameroun. Une opération à laquelle ont pris part, outre l’université de Douala, celles de Yaoundé I et de Ngaoundéré. Rien d’étonnant alors à ce que les échanges se soient déroulés avec certains participants intervenant en mode visioconférence. Pour le Pr Michel Tchotsoua, de l’université de Ngaoundéré, il s’est agi de « tester une autre façon d’enseigner (…) dans le Supérieur ». Ce qui passe, entre autres choses, par la formation à la production des contenus. Concernant spécifiquement l’université de Douala, elle a bénéficié, dans le cadre de ce projet, d’une dotation de 25.000 euros (un peu plus de 16,3 millions de F Cfa) pour l’acquisition de certains équipements de production. Par ailleurs, va expliquer le Dr Joseph Mvogo Ngono, une dizaine d’enseignants de l’université de Douala ont été formés à l’ingénierie pédagogique numérique, autrement dit, la manière de créer des cours en ligne. « D’autres aspects ont été pris en compte dans le cadre de ce projet, notamment la formation des techniciens à la production des contenus multimédias », a ajouté le Dr Mvogo Ngono.

En dehors de ce volet « Renforcement des capacités des enseignants », l’université de Douala a enregistré des réalisations en termes de cr&eac...

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