De nouveaux outils de contrôle aux Douanes

Un atelier sur le « système a posteriori », méthode aidant à voir plus clair dans le secteur, se tient depuis hier à Yaoundé.

La mondialisation et l’accroissement du niveau des échanges, la multiplication de cadres réglementaires découlant de la conclusion d’accords de coopération ou de libre-échange avec d’autres pays, etc. sont autant de défis auxquels font face les administrations douanières. Pour les relever et affronter la double exigence de facilitation du commerce et de sécurisation des recettes budgétaires, l’Organisation mondiale des douanes a mis en place de nombreux outils à l’instar du système de contrôle a posteriori. Considéré comme un examen structuré des systèmes commerciaux pertinents d’une entreprise, il permet de fluidifier l’activité commerciale tout en assurant un contrôle efficace face aux enjeux multiples. C’est dans ce cadre que se tient depuis hier à Yaoundé un atelier régional de l’Organisation mondiale des douanes sous la houlette des experts venant des Etats-Unis, de l’Inde et du Japon. Objectif : outiller des responsables des administrations douanières en la matière.
« D’après les normes, il est question qu’un maximum de 20% de marchandises soient physiquement contrôlés au niveau des ports et des aéroports et que le reste du travail soit coordonné a posteriori  par les audits des en...

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