Cinquantenaire de l’Unité : le « Village Adamaoua » rassemble

Depuis le 17 mai dernier, le Bataillon d’intervention rapide (BIR) a installé dans le « Village de l’unité », un stand, à côté de la Place de l’indépendance de Ngaoundéré. Des jeunes, discutent avec d’autres sur la préservation de la paix. Les éléments de cette force d’élite renseignent sur les missions qui sont les leurs. Mais pas que. Ils sensibilisent les fils de l’Adamaoua à la préservation de l’intégrité territoriale, au sens de la patrie, à la cohésion sociale et aux risques d’égarement face à l’insécurité qui préoccupe dans la région. Les éléments du colonel Nko’o Ella, le commandant du 5e Bir sont montés au front, surtout face aux phénomènes de prise d’otage d’éleveurs avec demande de rançon, phénomène courant dans la région château d’eau du Cameroun. Normal, le thème de la 50e édition de la fête nationale : « Force de défense et de sécurité au service du peuple pour la préservation de la paix sociale et de la cohésion nationale, gage de l’émergence du Cameroun » s’y prête. 
Le « Village Adamaoua » ou « Village de l’unité » est constitué d’autres quartiers en-dehors de celui de « l’armée-nation », représenté par les forces de défense et de sécurité (Bir et sapeurs-pompiers). L’action d’accompagnement social à travers les projets n’est pas en reste. Le quartier de « vie moins chère » avec la promotion du made in Cameroon, la gastronomie locale, le quartier de la citoyenneté qui promeut les jeux ancestraux, notamment les jeu...