Le réseau part, l’argent aussi !

Ce qu’il y a peut-être de plus frustrant que de ne plus entendre son correspondant quelques secondes après le début de la conversation, c’est de constater que les secondes passées à dire « allô ?! » dans le vide… sont payées. Le service étant interrompu, la facturation devrait l’être aussi, en principe. Et l’usager n’est en rien consolé d’apprendre que, malchance pour lui, le réseau est perturbé par des vents catabatiques ou par une kermesse d’oiseaux sur un pylône. Passe encore que la gêne soit sporadique (quoique !). Mais quand des irrégularités de service deviennent régulières, le client peut péter un câble sous sa couronne de roi putatif.
Il se trouve que depuis quelques mois – la période paraît toujours trop longue pour le consommateur lésé, de toutes les façons – l’inconfort s’est banalisé. Et pas qu’au sujet des appels : on ne compte plus les abonnés qui, sur les réseaux sociaux, se plaignent de la vitesse à laquelle fondent leurs mégas. Ou de la lenteur du débit Internet chez tel ou tel opérateur. Les murs Facebook sont alors remplis de noms d’oiseaux et d’autres qualificatifs qui ne peuvent être repris ici. Peuvent être repris, en revanche, les complaintes, récriminatio...

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