Urbanisation: Participer, c’est développer !

C’est l’objet de l’atelier organisé le 28 février dernier à la Salle des fêtes d’Akwa sur le vivre-ensemble.

Participation et partage font partie des mots clés du concept du vivre- ensemble. Economie sociale et solidaire, entrepreneuriat collectif, réseautage, valorisation des potentiels endogènes en sont quelques-uns des principes. Des principes exposés ce 28 février 2017 à la Salle des fêtes d’Akwa par Pauline Eyebe Effa, coordonnatrice du Partenariat France-Afrique pour le co-développement (Pfac). C’était lors d’un atelier de réflexion pour la définition et l’élaboration d’une stratégie sur le vivre-ensemble. Une session organisée par la Communauté urbaine de Douala (Cud) destinée aux responsables d’associations, de grands groupes ethniques, de communautés des pays voisins, aux chefs traditionnels et aux collectivités territoriales décentralisées.

Pour Pauline Eyebe Effa, il s’agit d’un atelier-proposition qui suggère que le concept de Vivre ensemble, déjà existant dans la cité économique camerounaise, pourrait être amélioré. Car dit-elle, « Ce qui manque à Douala, c’est ce lien au niveau communautaire. Je pense que cette ville n’a même pas encore fait émerger le quart du potentiel dont regorge son territoire. » Pour montrer la voie, elle s’est appuyée sur l’exemple de deux métropoles : Montréal au Canada, considérée comme la pionnière du vivre-ensemble a développé par exemple ses infrastructures sociales et économiques grâce à ce système de solidarité. Illustration avec le programme « Bâtir son quartier » qui a coordonné la réalisation de 10.900 logements dans la ville, dont plus de 500 projets d’habitation sociale. Autre exemple de cité, Séoul en Corée du Sud. Des expériences qu’il ne s’agit pas de copier, mais de contextualiser. Pour Fritz Ntonè Ntonè, délégué du gouvernement auprès de la Cud, la finalit&e...

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