Gendarmerie nationale : les batailles de 2024

La lutte contre le terrorisme et le grand banditisme, l’amélioration des infrastructures et la sécurité routière sont quelques chantiers présentés hier par le secrétaire d’État, Galax Etoga, lors de la cérémonie de présentation des vœux.

En 2024, les pandores vont continuer à relever les défis sécuritaires qu’affronte le pays, comme ils l’ont fait l’année dernière. Avec du succès à la clé, de l’avis du secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense chargé de la gendarmerie nationale. Galax Etoga a exprimé son satisfecit hier à Yaoundé lors de la cérémonie de prise d’armes spéciale à l’occasion de la présentation des vœux de Nouvel an. Il a ensuite invité les « bérets rouges » à continuer de travailler pour tenir leur rang sur tous les théâtres des opérations. « Notre combat pour l’intégrité territoriale du pays et la lutte contre le terrorisme devront se poursuivre avec la même densité opérationnelle. Par ailleurs, la Gendarmerie nationale sera attendue dans l’accompagnement des actions entreprises par l’État pour un retour définitif à la normale dans les régions en crise », a-t-il déclaré. Les menaces ici concernent la guerre en cours contre les groupes terroristes sécessionnistes dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest et les terroristes de la secte Boko Haram à l’Extrême-Nord. 
En ce qui concerne le grand banditisme et la criminalité transfrontalière, la Gendarmerie nationale doit s’adapter aux nouvelles formes de menaces. Le raccordement au système d’information d’Interpol jouera un rôle important dans l’obtention de meilleurs résultats. Et pour un meilleur maillage territorial, de nouvelles unités doivent être créées dans les zones les plus reculées. Une suite logique aux opérations de recrutement en cours de 3000 élèves-gendarmes et 340 élèves sous-officiers de gendarmerie. Sur un autre plan, le secrétaire d’État auprès ...

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