Commentaire.
L’ouverture du dialogue politique gabonais le 28 mars prochain est une occasion idoine pour dissiper les malentendus des dernières joutes électorales et assainir le climat politique. On sait que le récent scrutin présidentiel s’est achevé sur une note discordante, malgré la validation de la réélection du président Ali Bongo Ondimba par la Cour constitutionnelle par 50,66 % des voix contre 47,24 % pour Jean Ping.
Quelles que soient les récriminations de la Coalition pour la nouvelle République (CNR) de Jean Ping et ses partisans, le Gabon doit trouver des solutions au différend politique et avancer. C’est à dessein que le dialogue annoncé portera sur la réforme des institutions, la consolidation de l’Etat de droit démocratique, les réformes électorales, la modernisation de la vie publique ainsi que le renforcement de la cohésion sociale. Non seulement, des échanges approfondis sur ces thèmes balisent le chemin pour les élections législatives annoncées en juillet prochain, mais aussi et surtout, ils permettent au Gabon de s’ancrer davantage dans la modernité. Ce n’est pas un hasard si le président de la Démocratie intégrale(DN), René Ndemezo’o Obiang , a décidé de soutenir le dialogue politique dans l’intérêt supérieur de la nation .Ce n’est non plus un hasard si des personnalités telles que l’ancien président de l’Assemblée nationale , Guy Nzouba Ndama ...
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