Commerce international des marchandises: le Cameroun s’arrime aux normes
Trois projets de loi défendus mardi devant la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale par le ministre du Commerce.
«Le dénominateur commun à ces textes, c’est qu’ils viennent tous des Nations unies, ce qui veut dire qu’ils impliquent la participation de tous les Etats. Mais il s’agit des Nations unies sans le droit de véto du Conseil de sécurité. Ce sont donc des règles qui prennent en compte les intérêts de tous les pays membres de l’ONU ». C’est la précision que Luc Magloire Mbarga Atangana a tenu à faire mardi dernier au sortir des travaux de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale. En compagnie de son collègue des Relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella, le ministre du Commerce est allé défendre trois des cinq projets de loi déposés au sein de la chambre lundi dernier par le gouvernement. Le ministre du Commerce a donc tenu à préciser qu’il s’agit de textes ayant reçu la contribution des experts de tous les pays-membres, regroupés au sein de la Commission des Nations unies sur le commerce international. Qu’il s’agisse du projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la Convention des Nations unies sur le contrat de transport international de marchandises effectué entièrement ou partiellement par mer adoptée à New York le 11 décembre 2008 ou celui sur les contrats de vente internationale de marchandises qui a vu le jour à Vienne en Autriche le 11 avril 1980, voire celui sur l’utilisation de communications électroniques dans les contrats internationaux, notre pays est en train de faire un pas important vers la modernité.
Ils ont dit
Luc Magloire Mbarga Atangana: « C’est un outil pour booster le commerce »
Ministre du Commerce
« Il faut d’abord dire qu’ils s’agit de conventions qui ont été élaborées par la Commission des Nations unies pour le commerce international, qui est un organe de l’ONU et dont le mandat est d’harmoniser et d’unifier les règles applicables en matière de commerce international qui doit permettre à tous les Etats, notamment les pays en développement, de pouvoir participer sur la base des critères et des r&...
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