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Depuis quelques jours la ville de Bangassou, dans le sud-est de la Centrafrique est devenue tristement célèbre. Elle est tombée entre les mains d'un groupe armé toujours non identifié -mais des sources onusiennes l’assimilent à des combattants anti-balaka- qui se montrent particulièrement belliqueux. En quelques jours, on impute à ce groupe armé la mort de six casques bleus de la Minusca. Et les victimes onusiennes ne seraient pas les seules. Faute d’accès dans les quartiers attaqués, un bilan des victimes civiles de la prise de contrôle de Bangassou n’a pas encore été établi. Le comble, c’est que malgré la désapprobation générale de leurs actions, les assaillants de Bangassou ne se montrent pas particulièrement enclins à lâcher du lest. En effet, au cours des dernières heures, des négociations ont été menées, dont certaines par le cardinal Nzapalainga, mais celles-ci sont restées vaines.
Il va bien falloir que l’ordre revienne à Bangassou et dans les autres villes du pays. C’est en tout cas le message envoyé par le président centrafricain Faustin Archange Touadéra, qui a fermement condamné les attaques de Bangassou. Il a promis de s’y rendre pour apporter son soutien aux populations. Mais en atte...
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