Les juges du Tribunal supérieur électoral (TSE) planchent depuis hier sur l’affaire du président Michel Temer, soupçonné de corruption
Le Brésil est de nouveau en pleine crise institutionnelle. Le destin politique du président Michel Temer est en jeu à cause de son implication supposée dans un gigantesque scandale de corruption. Il est notamment question du financement illégal de la campagne électorale pour la présidentielle de 2014. Au moment où nous mettions sous presse, les sept juges du Tribunal supérieur électoral (TSE) brésilien avaient ouvert la première audience pour prendre une décision collégiale au sujet de la validité dudit scrutin.
C’est ce scrutin qui avait permis à Michel Temer d’être reconduit en tant que vice-président de Dilma Rousseff. Cette dernière a été remplacée par Michel Temer il y a un an, avant la fin de son second mandat. Elle a été destituée après avoir été reconnue coupable de maquillage des finances publiques. Au cours de la première audience qui a eu lieu la nuit dernière, après l’acte d’accusation et les plaidoiries des avocats, les juges devaient annoncer leur vote un par un. Et la majorité simple est nécessaire pour invalider l’élection présidentielle de 2014. Si le président Temer est reconnu coupable, son successeur doit être désigné par le Congrès lors d'élections indirectes, après un intérim de 30 jours maximum assuré par le président de la Chambre des dé...
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