Nommé président de la Chambre judiciaire de la Cour suprême, ce magistrat chevronné revient dans une haute juridiction qu’il a servie avant son détachement à la CONAC
Pour Epuli Mathias Aloh, sa nomination à la Cour suprême avant-hier à l’issue des travaux du Conseil supérieur de la magistrature présidés au Palais de l’Unité par le chef de l’Etat s’apparente à un retour à la maison. Nommé président de la Chambre judiciaire, le Paramount chief (chef supérieur) des Basosi dans le département du Kupe Muanenguba, région du Sud-Ouest, y a même occupé de hautes fonctions par le passé, notamment lorsqu’il lui avait été donné d’assurer l’intérim du président de la Chambre administrative, en même temps qu’il a occupé le poste de président de la section criminelle. Né en 1952, il est diplômé de la section magistrature de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (ENAM) depuis 1977. Magistrat hors hiérarchie premier groupe, il fait son entrée au sein de la haute juridiction en 2000 et c’est en 2009 qu’il est sollicité par la Commission nationale anticorruption (CONAC) pour apporter son expérience à cette structure mise sur pied par le président de la République dans le cadre de la lutte contre la corruption. Il rejoint finalement la structure en 2011.
Premie...
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