Le chef jihadiste Abou Al-Sahraoui a déclaré la guerre à deux communautés qu’il accuse de collaborer avec la France.
La menace du jihadiste Abou Walid Al-Sahraoui, qui a prêté allégeance à l'organisation Etat islamique est prise au sérieux. Il accuse les communautés Imghad et Idaksahak d'avoir défendu le Niger et la France. Deux chefs de groupes armés maliens, Moussa Ag Acharatoumane, du Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA), et le général Gamou, leader du Gatia sont particulièrement visés par l’émir de l’organisation Etat islamique au Sahel.
Dans une lettre écrite à la main à l'encre rouge, il promet des représailles contre les communautés auxquelles appartiennent les deux chefs. Leur tort est d’avoir engagé leurs hommes aux côtés des soldats français, dans la poursuite de terroristes qui avaient attaqué une base de l’armée nigérienne à la frontière avec le Mali, il y a quelques mois. Au cours de cette manœuvre, quinze hommes d’Abou Walid Al-Sahraoui ont été tués.
Davantage depuis quelque temps, l’influence grandissante du MSA et du Gatia dans le Nord du Mali et particulièrement dans la région de Ménaka agace Al-Sahraoui et ses hommes. Les trafics auxquels ils se livraient par le pass&...
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