Special CHAN: échos

Coïncidences troublantes

Bien qu’appartenant à la  même sous-région, ce n’est pas tous les jours que le Cameroun et le Congo se rencontrent en compétition officielle. Mais à chaque fois, le match est loin d’être joué d’avance. Il ne faut surtout pas se fier à l’écart entre les deux équipes au classement Fifa. Sur le papier, le Cameroun est largement en tête mais sur le terrain c’est une autre histoire. Le score du match (1-0) perdu face au Congo au CHAN 2018 rappelle étrangement celui de la CAN 1972 au Cameroun et l’auteur du pénalty assassin se prénomme C. Junior Makiesse, comme un certain Junior Awono, capitaine des Lions A’.

Song Bahanag toujours star

Le CHAN n’est pas le rendez-vous des grandes vedettes du ballon rond, mais celui des  joueurs  peu connus évoluant en Afrique. Alors qu’on avait du mal à coller un nom sur le visage d’un Lion, l’équipe du Cameroun avait la particularité d’avoir comme coach l’ancien capitaine des Lions indomptables. Rigobert Song, de qui on attendait monts et merveilles, a pu mesurer ainsi sa cote de popularité au Maroc. A chacune de ses apparitions, il a drainé du monde, avec à la clé des demandes des selfies avec les personnels d’hôtel, les journalistes ou les hôtesses. L’enthousiasme est progressivement retombé avec les mauvais résultats enregistrés par son équipe. Du coup, la superstar est redevenue un homme comme les autres.

Agadir, la renaissance du phénix

Ville  d’accuei...