FADAM 2018: arts martiaux et commerciaux au menu

 Le festival qui s’ouvre ce 6 avril à Yaoundé a eu dans son sillage une rencontre d’affaires.

C’est ce vendredi 6 avril que s’ouvre, au Palais polyvalent des Sports de Yaoundé, la toute première édition du Festival africain des arts martiaux (Fadam). « Un rêve qui va devenir réalité », à en croire son promoteur, Me Dominique Saatenang. Face à la presse mardi et mercredi à Douala, le Camerounais, expert en arts martiaux, a présenté le projet sous toutes ses facettes.

Ainsi, au-delà de l’aspect sportif, qui verra la participation de 500 acteurs offrant une démonstration de différents styles d’arts martiaux d’horizons divers, le social, la culture, l’éducation et l’économie sont au programme de ce rendez-vous.

Et pour l’aspect business, les choses ont été engagées ce 4 avril, par un forum d’investisseurs internationaux tenu à Douala, au cours duquel des responsables de la Chambre de Commerce du Cameroun ont rencontré des homologues de Chine et d’Europe. Pour l’essentiel, il a été question de présenter des projets initiés par des acteurs locaux, et nécessitant un financement. En tout 19 ont été présentés, dont deux portés par Arthur Zang.

Mais on l’a dit, le cœur de l’événement est d’abord sportif. Et le Fadam, dont des articulations sont également prévues à Douala et Limbe (respectivement les 7 et 8 avril), prévoit de célébrer les arts martiaux sous leurs formes les plus artistiques et athlétiques. 30 disciplines martiales et plus de 40 pays seront représentés. « Il est question d’en faire un projet fédérateur », visant l’épanouissement de la jeunesse, indique le...

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