Préservation du vivre ensemble : la touche des Etudi

Une messe pontificale a eu lieu samedi dernier en la paroisse Marie Médiatrice d’Etoudi en présence du ministre, directeur du Cabinet civil de la présidence de la République, Samuel Mvondo Ayolo, représentant personnel du chef de l’Etat.

La paroisse Marie Médiatrice d’Etoudi a accueilli samedi dernier, la communauté Etudi-Yetotan-Yetulu-Etundu, dans le cadre d’une messe pontificale célébrée par Mgr Jean Mbarga, archevêque métropolitain de Yaoundé. Venus des quatre coins du Cameroun, et drapés d’un uniforme de circonstance, ils ont voulu, outre ce moment de communion, réaffirmer leur soutien au président de la République, Paul Biya, en prières. Ceci afin que le Très haut lui accorde toutes ses grâces et la force nécessaires pour l’accomplissement de sa tâche à la tête de l’Etat, afin de lui permettre « de continuer l’œuvre de construction entamée à la tête du pays ». C’était en présence du ministre, directeur du Cabinet civil de la présidence de la République, Samuel Mvondo Ayolo, représentant personnel du chef de l’Etat. Occasion également de prier pour la paix, l’unité et la coexistence pacifique au Cameroun. Pour Laurent Serge Etoundi Ngoa, patriarche et porte-parole des Etudis, la rencontre, rendez-vous annuel des différentes communautés rassemblées à cette occasion, leur permet aussi de ressouder leur « ciment ombilical ».
Ces différentes intentions ont été déposées à l’autel de Dieu. Et c’est l’archevêque métropolitain de Yaoundé en personne, qui était chargé d’intercéder auprès du Père céleste au cours de cette célébration eucharistique. A l’occasion, Mgr Jean Mbarga, était assisté des évêques de la province ecclésiastique de Yaoundé, ainsi que de l’archevêque émérite de Bertoua, Mgr Roger Pirenne et l’évêque émérite de Mbalmayo, Mgr Adalbert Ndzana. Inspiré de l’Evangile de Saint-Luc dans lequel le Fils de l’Homme est venu « sauver les pécheurs », le prélat a exhorté les membres de la grande famille Etudi à se rapprocher de lui. Ils doivent donc semer l’amour pour le règne du projet de « fraternité universelle » dont ils sont porteurs. L’archevêque de Yaoundé a souligné que pour réaliser cette œuvre universelle, il faut respecter notre diversité sociologique. Il faut surtout dépasser les identités culturelles, ethniques, spirituelles et politiques, » au bénéfice de l’intérêt gén&e...

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