Conditions d’éligibilité : la montée de fièvre

Le sujet suscite des débats passionnés et s’accompagne de diverses interprétations réconfortant diverses tendances.

Pour l’heure, deux candidatures à la tête de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) ont été officiellement annoncées. Il s’agit de celles de Jules Denis Onana et d’Emmanuel Maboang Kessack. Deux actes de candidature qui semblent ne pas susciter de remous. L’attention et les regards sont plutôt tournés vers d’autres potentiels candidats. On pense notamment à deux noms dont l’évocation agite la toile depuis plusieurs jours : Seidou Mbombo Njoya, l’actuel président intérimaire de la Fecafoot et Samuel Eto’o Fils. Même si l’ancien capitaine des Lions indomptables maintient le suspense, l’éventualité de sa candidature est de plus en plus évoquée. 
Un scénario attendu par certains et redouté par d’autres. Toujours est-il que la rumeur a remis en surface le débat sur les conditions d’éligibilité des candidats à la présidence de la Fecafoot. Plus précisément celles ayant trait à la nationalité des différents postulants. La question étant de savoir si un candidat détenant la double nationalité peut valablement postuler à diriger l’instance fédérale établie à Tsinga ? Sur les plateaux de télévision, dans les studios radio et sur les réseaux sociaux, la question alimente les discussions. D’aucuns y voient un instrument criard de discrimination, deux mesures. Une autre tendance dresse un parallèle entre cette candidature éventuelle et les mésaventures de Didier Drogba à la Fédération ivoirienne de football. Avocats et juristes spécialisés en droit civil sont mis à contribution pour évoquer les dispositions légales sur la double nationalité.
Un sujet brûlant auquel n’a pas échappé la commission électorale, l’organe indépendant de la Fecafoot, chargé entre autre d’organiser, g&ea...

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