Implantation du contrôle de gestion : coup d’accélérateur au Minesup

Les rôles des différents acteurs de la chaîne reprécisés mercredi au cours d’un atelier ouvert par le secrétaire général de ce département ministériel, au nom du ministre d’Etat.

C’est une priorité au ministère de l’Enseignement supérieur (Minesup). Améliorer les performances sur tous les plans. A ce sujet, Paul Henri Ngue Ngue, coordonnateur du contrôle de gestion est clair. Tous les intervenants de la chaîne de Planification, programmation, budgétisation et suivi (PPBS) : les chefs de programme, les contrôleurs de gestion, les directeurs des affaires financières des universités d'Etat et les autres, doivent regarder vers la même direction et avoir le même discours. Le département ministériel a déjà les outils de gestion, il reste à présent que l’ensemble des acteurs sachent ce qu’ils ont à faire au quotidien.

C’est sans aucun doute pour cette raison qu’un atelier sur « l’implantation du dialogue et contrôle de gestion » a été organisé à leur intention, les 2 et 3 février derniers à l’Ecole nationale supérieure polytechnique de Yaoundé. A l’ouverture, le Pr. Wilfred Nyonget Gabsa, secrétaire général du Minsup, a fait un certain nombre de rappels au nom du ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur empêché.

Dans son propos, le Sg explique que le gouvernement s’est engagé dans un vaste chantier de réformes de la gestion des finances publiques. Réformes qui ont abouti en 2018 à la promulgation des lois n°2018/011 du 11 juillet 2021 portant Code de transparence et de bonne gouvernance dans la gestion des finances publiques et celle n°2028/012 du 11 juillet 2018, portant régime financier de l’Etat et des autres entités publiques. A la suite de ces textes, les administrations publiques devaient élaborer leur budget sur la base de leurs programmes. Comme le souligne le Sg du Minesup, avec ses quatre programmes, le sous-secteur de l&rsquo...

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