« Le vœu de la commune c’est la pérennisation de ces ouvrages »

Abadame Djibrine, secrétaire général de la mairie de Kousseri.

Quel impact le programme Himo a-t-il eu dans votre commune ?
L’impact que ce programme a eu sur la population et les différents intervenants  dans la réalisation est très important. Il y a un impact économique et un impact social. L’impact économique c’est que durant la construction du magasin de stockage et de la mare artificielle, des ouvriers ont été recrutés sur place dans les villages abritant ces infrastructures et les villages environnants. Cela les a aidés à avoir des revenus à la fin du mois. Maintenant l’impact social, le plus important à mon avis, c’est que ces projets vont améliorer les conditions de vie des populations, ainsi que le rendement des éleveurs et des agriculteurs.

Sur quelle base les projets réalisés ici ont-ils été choisis ?
Ce sont des projets issus des plans de développement communaux (PCD) et portés par la mairie. Ce sont les populations qui ont exprimé leurs besoins et ceux qui confectionnaient les plans de développement communaux ont analysé la faisabilité. Peut-être qu’il y a dix villages qui ont demandé la mare artificielle, mais après étude on s’est rendu compte que le meilleur endroit c’est le site de Ngama...

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