La convention a été signée hier à Yaoundé entre le ministère en charge de l’Environnement et l’université de Ngaounderé.
Les polychlorobiphéniles (PCB) sont des produits industriels couramment utilisés comme fluides diélectriques dans les transformateurs, les condensateurs, les systèmes de transfert de chaleur et les systèmes hydrauliques. Ils sont aussi utilisés comme adjuvants dans les peintures, les papiers autocopiants et les enduits plastiques. Ces polluants organiques persistants se retrouvent aussi malheureusement dans la nature avec un impact dangereux sur la santé et l’environnement. Causant diverses affections entre autres les cancers, l’hypertension artérielle, les malformations congénitales, le dysfonctionnement du système immunitaire et même des disparitions de certaines espèces animales incapables de se reproduire.
C’est fort de ce constat que la Communauté internationale est mobilisée pour éliminer de manière rationnelle et écologique ces produits. Pour ce qui est du Cameroun, une signature de l’accord cadre de partenariat et de convention spécifique a eu lieu hier jeudi à Yaoundé entre le ministère de l’Environnement, de la Protection de la nature et du Développement durable (Minepdep) et l’université de Ngaoundé...
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