Une opération qui a démarré mardi dernier vise à amener les automobilistes à se conformer à la réglementation en vigueur.
Déployée dans tous les coins de la cité capitale, la police a décidé depuis mardi 13 février de tordre le cou aux transporteurs clandestins. Papiers des véhicules (carte grise, vignette automobile, assurance), pièces personnelles des conducteurs (permis, CNI) le respect des heures de circulation en ville pour les gros porteurs (grumiers, camions de sable…), la maîtrise du code de la route avec un accent particulier sur la gestion des dépassements, sont surveillés de près.
Sur le terrain, l’opération menée sans tambours ni trompettes surprend bien d’automobilistes indélicats. « Qu’est ce qu’il y a ? Pourquoi autant de policiers ces jours dans les rues? », lance un taximan apeuré.
À peine finit-il de s’interroger que le taximan est interpellé. Après une brève présentation, le policier demande les documents du taxi. Le taximan ne les ayant pas tous, voit tous ses passagers invités à descendre du véhicule et ses quelques papiers retenus. Le véhicule quant à lui, attend d’être conduit en fourrière où le propriétaire déboursera une somme de 25000 F pour le récupérer.
Au fur et à mesure que les heures passent, les petites voitures jaunes et quelques véhicules particuliers s’entassent à la fourrière municipale. A la délégation régionale de la Sûreté nationale du Centre, initiatrice de la campagne, on ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
Le commissaire divisionnaire Martin Claude Foh Soua met en application les instructions d...
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