Etat civil : on veut numériser les archives

Un atelier de formation des formateurs organisé depuis hier à Yaoundé, par le Projet d’amélioration du système dédié au Cameroun.

Les acteurs du circuit de la modernisation des actes de l’état civil, à travers la numérisation et l’indexation sont à l’école. Cette fois-ci, certains d’entre eux, futurs formateurs, suivent une formation sur la gestion des archives. L’atelier qui se déroule depuis hier, 2 novembre dans la salle des actes de la mairie de Yaoundé VI, a été initié par le Projet d’amélioration du système d’état civil au Cameroun pour une citoyenneté active (Paseca). Selon le chef de la division des systèmes informatiques du Bureau national d’état civil (Bunec), Prosper Ottou Ottou, il s’agit de « capaciter les formateurs, les différents agents de saisie et de numérisation dans les différentes communes. Pour cela, il faudrait qu’ils s’imprègnent des modalités et autres étapes dont s’accompagne le processus lié la reprise de l’antériorité des actes d’état civil. » 
A ce titre, les participants venus des dix régions du pays ont été outillés sur les missions poursuivies à travers ce séminaire de renforcement des capacités. Notamment, la constitution du fichier national des actes de l’état civil qui se subdivise en deux phases : la digitalisation, c’est-à-dire la production des actes informatisés, et la gestion des actes d’état civil dressés avant le processus de numérisation actuel. C’est donc lui qui est appelé reprise des antériorités. a en croire Prosper Ottou Ottou, il consiste au fait de scanner chaque acte, de l’indexer pour pouvoir constituer une base de données unique, d’abord...

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